Pour une qualité de vie meilleure ...

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Est-ce votre poids qui a de l'importance ? (1)

Est-ce le poids qui revêt le plus d'importance ?

La plupart du temps quand on parle maigrir, c'est de poids que l'on parle. Or, le poids est une notion relative et subjective dont il faut se méfier: chaque personne est d'une constitution particulière ce qui mène à devoir prendre plusieurs critères avant de déterminer un poids idéal.

 

En fait, et malgré l'idée négative que certains peuvent avoir, ce qui compte d'abord, c'est la silhouette. Un autre aspect est l'état de forme ou de condition physique d'une personne avant de prendre en considération le poids à proprement parlé.

 

Si une personne à le physique d'une star, on se préoccupe rarement de son poids.

 

La première idée qui devrait venir à l'esprit quand on parle de maigrir, serait de perdre la graisse excédentaire qui entrave les organes et le mouvement et diminuer la rétention d'eau. Est-ce vraiment à cela qu'arrive les cures proposées ?

 

un régime ne devrait jamais être une cure que l'on puisse suivre pendant quelques temps ... avant de l'abandonner. S'il est évident que nous ayons à éviter toutes sortes d'abus et principalement ceux qui apportent du sucre - sous forme d'alcool et de certains aliments salés aussi -, il est intéressant de pouvoir manger, au moins le repas principal "comme tout le monde" (pour autant que le "tout le monde" veille à un certain équilibre alimentaire). Le plus sordide dans notre type d'alimentation moderne réside dans les à-côtés - apéritifs, desserts, en-cas, ... - et la plupart des produits préparés par l'industrie agro-alimentaire. Le vrai problème de la civilisation occidentale, c'est que toujours plus de loisirs s'articulent autour du manger ... et de la malbouffe.

 

Et pourtant, ce sont des moments tellement agréables dont nous ne devons pas nécessairement nous passer.

 

Alors, existe-t-il une solution permettant de résoudre cet imbroglio civilisationnel ?

 

Les instances publiques et l'OMS confrontés à ce phénomène planétaire et épidémiologique se débattent dans des discours de persuasions que, même leurs discoureurs n'arrivent pas à respecter eux-mêmes.

 

Ils ont peut-être oublié deux choses : la société anxiogène qui nous est offerte, pousse toujours plus à consommer des "drogues" dont le sucre fait partie selon les dernières recherches. D'autre part, n'aurait-il pas découvert que les messages de négation ont toujours eu tendance à entraîner l'humain vers la consommation de ce qui est décrié.

 

Pour en sortir, l'usage "intelligent" de son mental est sans doute la manière la plus habile, la plus confortable et la plus sûre d'arriver au résultat souhaité. mais cela n'est pas suffisant : c'est la raison pour laquelle nous suggérons l'usage d'alternatives construites sur les dernières avancées des recherches en nutrition ... nous proposons de commencer par ne faire qu'une chose : changer de petit-déjeuner ...

 

A suivre ...

 



22/09/2015
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